Peut-on y faire quelque chose ?

STRESS ET OPPRESSION

Oppression Pourquoi certaines personnes tombent-elles plus souvent malades que d’autres ?
Pourquoi certains individus sont-ils sujets aux accidents plus que d’autres ?
Y a-t-il une explication au fait que certains vivent une vie en dents de scie sur le plan émotionnel, en pleine forme aujourd’hui, au plus bas demain ?

Il existe une explication, qui n’a rien à voir avec les dieux, le destin ou la position des étoiles. En réalité, la Scientologie a trouvé la raison qui se tient derrière ces phénomènes... et la façon de les résoudre.

Ron Hubbard a réussi à voir clair dans le jeu des complexités du comportement humain et à découvrir les facteurs sous-jacents qui expliquent le phénomène de l’oppression chez les gens. Car c’est bien l’oppression exercée par certaines personnes que l’on trouve à l’origine de ces incidents apparemment fortuits.

Il existe certaines caractéristiques et certaines attitudes mentales qui conduisent environ 20 % des individus d’une société à s’opposer violemment à tout groupe ou activité d’amélioration.

Ces gens sont connus pour leurs tendances antisociales.

Lorsque les structures juridiques ou politiques d’un pays deviennent telles qu’elles favorisent l’accession de ce genre de personnes à des positions de confiance, alors toutes les institutions civilisatrices de ce pays deviennent la cible d’oppression, et il s’ensuit une criminalité et une contrainte économique qui relèvent de la barbarie.

Le crime, les actes criminels sont le fait de personnalités antisociales. Les pensionnaires de nos asiles en arrivent souvent à établir que leur état remonte à une relation passée avec de telles personnalités.

Oppression Ainsi pouvons-nous en conclure qu’il est essentiel, dans les domaines du gouvernement, de la police ou de la santé mentale, pour n’en citer que quelques-uns, d’être en mesure de repérer et d’isoler les personnalités de ce type, de façon à protéger la société et les individus des conséquences destructrices qui s’ensuivent lorsqu’on octroie à de telles personnalités la liberté de nuire aux autres.

Puisque les individus antisociaux ne représentent que 20 % de la population et puisque seulement 2,5 % d’entre eux sont véritablement dangereux, il apparaît qu’avec un minimum d’effort nous pourrions améliorer sensiblement l’état de notre société.

Napoléon et Hitler sont bien sûr deux exemples bien connus, voire grandioses, de personnalités antisociales. Dillinger, Pretty Boy Floyd (des pilleurs de banques américains), Christie (un assassin anglais du début du siècle) et autres criminels notoires en sont d’autres. Mais avec de tels personnages de ce genre aux noms historiques, on néglige d’autres exemples moins grandioses et on ne se rend pas compte que de tels individus existent communément dans la vie courante, et passent souvent inaperçus.

Lorsqu’on cherche les raisons pour lesquelles une entreprise est en train de faire faillite, on découvre invariablement qu’au sein de son personnel, une personne antisociale s’y emploie activement.

Dans les familles qui se désunissent, on trouve souvent que l’une ou l’autre des personnes impliquées possède une telle personnalité.

Là où la vie est devenue dure et misérable, un examen minutieux du milieu environnant par un observateur entraîné révélera une ou plusieurs personnes antisociales à l’œuvre.

Comme 80 % d’entre nous tentent de faire leur chemin dans la vie et seulement 20 % s’emploient à nous y empêcher, la vie serait bien plus facile si nous connaissions bien les manifestations exactes de ces personnalités. Ainsi nous pourrions les repérer et nous épargner beaucoup d’échecs et de chagrin.

Il est donc important d’examiner et d’énumérer les attributs de la personnalité antisociale. Ces individus exerçant leur influence sur la vie quotidienne d’un si grand nombre d’entre nous, il y va de l’intérêt des honnêtes gens de mieux s’informer sur le sujet.

L’homme, en proie à ses angoisses, est enclin à se livrer à la chasse aux sorcières.

Il suffit de dire que « les gens à chapeau noir » sont des méchants pour qu’on se mette à massacrer les gens à chapeau noir.

Oppression Cette caractéristique de l’homme fait qu’il est très facile pour la personne antisociale de créer une atmosphère d’anarchie ou de danger.

L’homme n’est pas naturellement brave ou calme dans son état humain. Il n’est pas non plus nécessairement méchant.

Même la personne antisociale, à sa façon tordue, est tout à fait certaine d’agir pour le mieux et se considère d’ordinaire comme la seule personne bienveillante aux alentours à agir pour le bien de tous. Seule faille à son raisonnement : si l’on tue tout le monde, il ne restera plus personne à protéger de ces maux imaginaires. La seule méthode pour reconnaître la personne sociale de la personne antisociale consiste à observer leur comportement dans leur milieu et vis-à-vis de leurs semblables. Leurs motivations personnelles restent semblables : se préserver et survivre. Elles suivent simplement des voies différentes pour y parvenir.

Donc l’homme n’étant naturellement ni calme, ni brave, chacun tend, dans une certaine mesure, à se tenir sur ses gardes vis-à-vis des personnes dangereuses et c’est ainsi que peut commencer la chasse aux sorcières.

C’est pourquoi il est encore plus important de pouvoir reconnaître la personne sociale que la personne antisociale. On évitera ainsi d’abattre l’innocent sur la base de simples préjugés, par antipathie ou à cause d’un écart de conduite momentané.

Le moyen le plus simple de définir la personnalité sociale est de la comparer à son opposé, la personne antisociale.

La distinction est facilement faite et il ne faudrait pas concevoir un test qui ne serve qu’à isoler l’antisocial. Les bons côtés comme les mauvais côtés des actions de l’homme doivent apparaître sur le même test.

Un test qui ne mettrait en évidence que la personnalité antisociale sans pouvoir également identifier la personnalité sociale serait en lui-même un test oppressif. Ce serait comme d’exiger une réponse par oui ou par non à la question : « Battez-vous toujours votre femme ? » Interrogé de cette façon, n’importe qui pourrait être déclaré coupable. Cette méthode aurait sans doute pu être adoptée du temps de l’Inquisition, mais elle ne répond pas à nos besoins modernes.

Puisque la société n’évolue, ne prospère et ne vit que grâce aux efforts des personnes sociales, il est impératif de savoir les reconnaître puisque ce sont elles, et non les antisociaux, qui sont les gens valables. Ce sont ces gens-là qui doivent avoir des droits et des libertés. On ne doit s’intéresser à l’antisocial que dans le but de protéger et d’aider les personnes sociales au sein de la société.

Les règles édictées par la majorité, les grandes idées civilisatrices, voire la race humaine entière finiront toutes par disparaître à moins qu’on ne parvienne à identifier et à contrecarrer les personnes antisociales pour pouvoir aider et favoriser les personnes sociales. Car le mot même de « société » implique un comportement social en l’absence duquel aucune société ne saurait exister, seulement un état de barbarie où tous les hommes, bons ou mauvais, seraient en danger.

Oppression L’inconvénient quand on explique comment reconnaître les gens malfaisants, c’est que ceux-ci attribuent ensuite ces caractéristiques aux honnêtes gens dans le but de les faire traquer et supprimer.

Le chant du cygne de toute grande civilisation est joué par les flèches, les haches ou les balles dont se sert l’antisocial pour tuer les derniers hommes honnêtes.

L’État ne devient dangereux que s’il peut être manipulé par des personnes antisociales ou mis à leur service. Alors, ce sont toutes les personnes sociales qui sont éliminées et c’est ainsi que se sont effondrés l’Égypte, Babylone, Rome, la Russie ou l’Occident.

On remarquera que parmi les caractéristiques de la personnalité antisociale, l’intelligence n’est pas un trait distinctif. Elle peut être brillante, stupide ou d’intelligence moyenne. Ainsi, celles qui sont extrêmement intelligentes pourront s’élever à des positions de responsabilité très élevées, voire parvenir à la tête de l’État.

La position sociale, comme la capacité ou le désir de s’élever au-dessus des autres, ne constitue pas non plus un trait distinctif de la personnalité antisociale. Lorsqu’elle s’élève dans la hiérarchie sociale, elle se fait cependant remarquer par l’ampleur des conséquences de ses actes. Mais elle peut tout aussi bien être quelqu’un de peu d’importance ou occuper un poste subalterne et ne rien désirer de mieux.

Ainsi, ce sont seulement les douze caractéristiques exposées plus haut qui permettent d’identifier la personne antisociale. Et on ne se servira que de ces mêmes douze critères, inversés, pour identifier la personnalité sociale, si l’on désire être honnête à ce sujet.

On ne peut pas établir qu’une personne est antisociale ni la cataloguer comme telle avec précision et en toute honnêteté, si on n’examine pas parallèlement les aspects positifs de sa vie.

N’importe qui, sous l’effet de la tension, peut réagir momentanément par des élans de comportement antisocial. Cela ne fait pas pour autant de quelqu’un une personne antisociale.

La personne véritablement antisociale présente une majorité de caractéristiques antisociales.

La personnalité sociale présente une majorité de caractéristiques sociales.

Il convient donc d’examiner le bon comme le mauvais côté d’une personnalité avant de l’étiqueter sociale ou antisociale.

Lorsqu’on se livre à ce genre d’examen, il est préférable de rassembler beaucoup de faits et de témoignages. Un ou deux exemples isolés ne prouvent rien. Il faut examiner chacune des douze caractéristiques sociales et chacune des douze caractéristiques antisociales et trancher à la lumière de preuves tangibles, non d’opinions.

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